Si les bonnes
résolutions ne sont, rassurez-vous, que pour le mois prochain, il est
toujours préférable de les envisager un peu à l’avance… Et si 2014 était
l’occasion de passer du superficiel à l’essentiel ?
Et si nous options enfin
pour les fondamentaux ?
« La liberté signifie la
responsabilité. C’est pour cette raison que la plupart des gens la
craignent » a écrit George Bernard Shaw. Il est plus facile
d’avaler une petite gélule que d’interroger son hygiène de vie. Il est
plus confortable de recevoir un massage superficiel qu’une thérapie en
profondeur. Il est plus
rassurant de se considérer comme victime plutôt que responsable.
Chacun ne peut partir que de sa
situation présente et on ne peut faire le choix d’une autre voie qu’en
reconnaissant les travers des stratégies passées. « Celui qui fait ce
qu’il a toujours fait obtiendra ce qu’il a toujours obtenu. »
Nous n’avons évidemment pas la
responsabilité directe de l’état de notre planète, de l’environnement,
des différentes formes de stress ou de pollutions, des injustices et
inégalités à travers le monde – tout cela existait déjà à notre
naissance – mais nous avons
la responsabilité de leurs impacts sur nos vies et aussi, dans une
certaine mesure, de ce que nous allons léguer à nos enfants.
Notre premier devoir en tant
qu’adulte est celui de nous protéger.
Alors nous pourrons envisager de protéger les autres. Alors, par notre
exemple – parce que nous serons par exemple plus sereins ou en meilleure
santé – nous inciteront d’autres personnes à faire de même.
On change le monde en se changeant
soi-même !
Se protéger n’a évidemment rien à
voir avec le repliement sur soi. Refuser toute critique, mauvaise
nouvelle, expérience désagréable ou aventure ; vivre dans la crainte du
mal-être ou de la maladie, ce n’est pas se protéger mais se liquéfier et
tomber dans le « Syndrome de la couche-culotte. »
Se protéger est fondamental car c’est
cette protection qui nous aidera à nous accomplir, à « devenir ce que
l’on est » (Nietzsche).
Le système nous rend débiles,
c'est-à-dire « Faible
de constitution physique, qui manque de vigueur ».
Physiquement ou
intellectuellement, le système nous affaiblit.
Nous sommes loin d’exprimer tout notre potentiel : pourquoi l’homme
est-il ainsi le seul mammifère à ne pas avoir une espérance de vie
correspondant à sa période de croissance multipliée par sept ?
Nous sommes génétiquement
programmés pour vivre centenaires mais sommes confrontés à de nombreux
obstacles et malentendus…
Le constat posé – il n’est sans doute
pas nécessaire de lister tout ce qui nous affecte au quotidien, du
stress aux différentes pollutions – que faire ? Comment protéger notre
organisme et optimiser son métabolisme ?
Comment respecter notre nature ?
Cette question peut nous emmener très
loin, trop loin pour un seul édito et nous nous contenterons ce mois-ci
des seuls aspects physiologiques (les fondamentaux psychologiques seront
abordés ultérieurement): de
quoi notre organisme a-t-il besoin pour fonctionner naturellement ?
1. Une respiration de qualité!
La vie ne se prolonge pas au-delà de
quelques minutes sans oxygène. Tout manque entraîne un effondrement du
métabolisme, une augmentation du dépôt des polluants et toxines et donc
une moindre vitalité et résistance en général. Or le problème n’est pas
tant la teneur en oxygène de l’air ambiant – autour de 21% – que les
différentes pollutions et stress qui entraînent une mauvaise
assimilation de l’oxygène par nos cellules, ce que l’on appelle
l’hypoxie.
Pistes :
Gymnastique douce (Yoga, Qi Gong, Taiji Quan), cohérence cardiaque,
purification de l’air via un vrai diffuseur d’huiles essentielles ou,
nec plus ultra pour lutter contre l’hypoxie, le Bol d’Air Jacquier®.
Voir les sites
www.aromatheque.ch
ou
www.lesateliers.ch
Mauvaises idées :
le sport intensif ou la respiration d’un air enrichi en oxygène
entraînent la création de radicaux libres en excès et donc un
vieillissement prématuré de l’organisme ; les encens ou l’utilisation de
chaleur avec les HE génèrent de la pollution dans l’atmosphère…
2.
Une eau de qualité (propre et vivante)!
La vie ne se prolonge pas au-delà de
quelques jours sans eau. La plupart des maladies chroniques et des
douleurs proviennent d’un manque d’eau ou d’une eau de mauvaise qualité
selon les normes de la vie et de la vitalité. Les deux facteurs sont
d’ailleurs liés, l’organisme rejetant naturellement les eaux du robinet
chlorée ou les eaux surchargées de minéraux, une eau dans les deux cas
morte et polluée. Ne pas avoir de boire cette eau est logique mais
problématique puisque plus de 99% des molécules d’un organisme sont des
molécules d’eau !
Pistes :
une filtration via osmose inversée
couplée – c’est essentiel ! – à un procédé de dynamisation, un
revitaliseur performant, une eau de source, un respect et une gratitude
renouvelés envers l’eau... Alors l’organisme aura envie de boire ! Voir
le site
www.eaunaturelle.ch
Mauvaises idées : les eaux minérales
en bouteilles (les minéraux ne sont pas assimilables), les carafes
filtrantes (prolifération microbienne), les systèmes de filtration sans
dynamisation (eau trop vide), les solutions du marketing (avis
subjectifs), les eaux alcalines (contraires aux normes de la nature),…
3.
Une nutrition de qualité
La vie ne se prolonge normalement pas
au-delà de quelques mois sans nourriture. La qualité de notre
alimentation influence également directement notre niveau de santé et de
vitalité, la nutrition étant « la première médecine » selon
Hippocrate. A l’inverse, la plupart des maladies dites « de
civilisation » – des cancers à l’obésité en passant par les allergies –
ont une cause alimentaire.
Pistes :
les aliments les plus complets, les
plus frais et les plus bio possibles ; les aliments de la vitalité
(huiles végétales, graines germées, produits de la ruche, germe de blé,
levure de bière, algues, fruits et légumes) ; la cuisson douce à
l’étouffé pour préserver les vitamines et le goût des aliments; manger
moins et notamment moins de viande… Voir le site
www.nutriwell.ch
Mauvaises idées :
les aliments industriels, les aliments raffinés (sucre, sel, pain
blanc,…), les produits laitiers, les produits light, la viande
d’élevages concentrationnaires, la cuisson au micro ondes ou à trop
haute température, les revêtements de poêles ou casseroles en Teflon®,…
4.
Un environnement de qualité
Des goûts et des couleurs, nous ne
discuteront pas mais plutôt des différentes pollutions susceptibles
d’impacter un organisme déjà fragilisé par le non-respect des trois
facteurs précédents : les 100 000 substances chimiques relarguées en
plus ou moins grosses quantités (dont 3% seulement ont été soumis à des
tests d’innocuité !), les ondes électromagnétiques (tél portable, wi-fi,
antennes relais, etc.), le bruit ou encore le manque de contact avec la
terre pour « décharger » ou au contraire se recharger en énergie.
Pistes :
les huiles essentielles en place de la chimie pour l’entretien de la
maison, les CMO contre les ondes, marcher pied nus dans l’herbe, se
ressourcer au contact de la nature… Voir
les sites
www.aromatheque.ch
et
www.protection-ondes.ch
Mauvaises idées :
les désodorisants chimiques, les produits ménagers non certifiés
écologiques, les meubles en agglomérés, les linos et autres sols
synthétiques, les appareils électriques dans la chambre, les portables
pour les enfants, les oreillettes qui créent un faux sentiment de
sécurité,…
5.
Des soins et traitements respectueux de l'organisme
Ne pouvant respecter à la lettre ce
qui précède, le vieillissement étant inévitable, des pathologies se
manifesteront. Le choix du traitement sera alors décisif : la petite
gélule chimique pour vite passer à autre chose et tant pis pour le
système immunitaire ou la voie naturelle pour renforcer son terrain et
prévenir les « rechutes » ? Vision pasteurienne d’un côté (les méchants
virus et bactéries à détruire à tout prix), vision biologique de l’autre
(la maladie comme message de l’organisme) : victime d’un côté, acteur de
l’autre : qui sera globalement en meilleure santé ?
Pistes :
les huiles essentielles pour toutes les pathologies du quotidien, des
soins cosmétiques labélisés bio pour protéger sa peau, les
naturopathes/thérapeutes correctement formés, le repos,… Voir les sites
www.aromatheque.ch,
www.beautebio.ch
et
www.lestherapies.ch
Mauvaises idées :
la médecine allopathique sans réflexion, la vaccination à outrance
(notamment en bas-âge), les antibiotiques automatiques, la peur de la
maladie, les grosses marques de la cosmétique industrielle…
Suivre globalement
les conseils ci-dessus ne garantira donc pas l’immortalité ni même le
paradis mais permettra à l’organisme de se préserver suffisamment pour
asseoir une qualité de vie durable.
Outre une vitalité retrouvée, vous
aurez également satisfaction à préserver la planète (moins de chimie) et
votre santé mentale (moins de manipulations).
En matière de « bonnes
résolutions » de nouvel an, il sera donc difficile de trouver mieux!
D'ici là, nous
vous souhaitons de très belles fêtes de fin d’année !
Frat’airnellement,
Fencienne & Benoît Saint Girons
PS : pour ceux qui
souhaiteraient dès à présent joindre l’utile à l’agréable tout en
évitant les embouteillages et le stress du centre ville, une fiche pdf
présente une sélection de « Cadeaux sur les fondamentaux »... pour tous les budgets!
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